(voila j'espère que ne ce n'est pas trop mal ^^" désolé pour ce retards !)
Inori marchait en direction du point de rendez-vous que lui avez donnée Ophiaca pour sont premier entrainement. Le soleil ce faisait bien timide caché derrière les nuages. Inori c'était déjà mise en route pour faire en sorte de ne pas arriver en retard pour son premier jour. Celle-ci ce demandait déjà ce qui pouvait bien l'attendre. La jeune fille était déjà envahit par toutes ces pensées: A quel genre d'obstacle allait-elle devoir faire face ? Et surtout quel genre de chevaliers pouvait être Ophiaca ? Ce qui laissais place à ce sentiment de stresse, de curiosité et d'excitation. Soudain une pensée négative venait s'ajouter à toutes ces questions: serait elle à la hauteur des exigences demandées par Ophiaca ou bien ne le serait-elle pas ? Dans ce cas, elle ferait mieux de rebrousser chemin et de retourner chez ses parents pour se cacher sous sa couverture et de bouder comme une enfant sous sa couverture …
«Non!» pensa t-elle il fallait prendre son courage à deux mains et elle devait être digne des taches qu'on lui confirait. Inori repris peu à peu confiance en elle et se laissa peu à peu emporter par le chant des oiseaux qui raisonnait à présent dans la foret et à travers sa tête. La jeune écuyère serra son collier contre son cœur et repris sont souffle, il était temps à présent et balayer toute ces pensées négatives et de penser au positif. Soudain elle accéléra le pas plus motivée que jamais. Elle arrivait enfin a son lieu de rendez-vous et elle apercevait à présent Ophiaca qui semblait l'attendre. Le stresse venait a nouveaux de refaire surface ce qui lui paralysait presque les jambes. Alors qu'elle tenta de saluer Ophiaca, celle-ci se mit à bafouiller. Les mots sortant de sa bouche formaient une phrase qui semblaient être : " Bonjour, j’espère ne pas vous avoir fait trop attendre!". Mais le sourire était bloqué, le stress l'avait immobilisé. Désormais, elle se sentait honteuse... Son premier jour, bon sang!
Inori était à présent livrée à elle même, à la merci du stresse qui l'immobilisait et de sa honte .
Tout ce quelle souhaitait à présent c'était de se cacher dans un trou, un trou profond, peut être même dans un tunnel pour être complètement recouverte par la terre.