Alexandre
Plus d'infos Age : 35
| Sujet: Alexandre d'Émeraude Lun 12 Nov - 23:29 | |
| Alexandre d'Émeraude
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- Rôle :Chevalier d'Émeraude (si c'est possible)
- Âge :23 ans
- Royaume : Argent est son royaume d'origine. Néanmoins, son rôle de chevalier l'a conduit à Émeraude.
- Race :Humain
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Psychologie
D’un naturel calme et plutôt réservé, le jeune homme fait partie de ceux qui se sont vus propulsés bien trop rapidement dans un monde adulte. Posé, il n'est pas très bavard, mais cette particularité de sa personnalité n'enraye en rien son charisme et son éloquence. En effet, ses propos ne sont jamais dit à la légère, en l'occurrence, il n'a aucun mal à être pris au sérieux par ses confrères ou par quiconque croise sa route. Néanmoins, la maturité dont il fait preuve contraste sévèrement avec son jeune âge. Une tête forte, un homme fier, courageux, un guerrier né. Tel est Alexandre. Oui, aux premiers abords, c'est ce qui saute aux yeux de ceux qui le regardent. Homme élégant, il impose le respect et attire les regards bien malgré lui. Depuis toujours, on lui a appris à faire passer la sécurité des autres avant la sienne. Et c'est ce qu'il fait sans se poser de véritable question. Que ce soit bien ou mal, il obéit aux ordres. Pour lui, le camp pour lequel il combat n'a pas de réelle importance. C'est un guerrier. Il fait ce qu'on lui demande de faire. On ne lui a jamais permis de rêver ou d'avoir de véritable opinion sur quelque chose. Dans la mesure où ceux qu'il doit protéger sont en sécurité, Alexandre fait ce qu'on lui demande, point final. Habitué à cacher ses émotions aux yeux des autres afin de pouvoir toujours garder la tête haute, il peut sembler distant et prétentieux. Pourtant, derrière ses airs de grand homme indépendant que rien ne semble atteindre, Alexandre cache pourtant une conscience logique et intuitive à laquelle rien n'échappe. Pour le reste, ce sera à vous de le découvrir.
Physique
Jeune homme ténébreux, Alexandre est mince et élancé, d’une carrure imposante, avec juste ce qu’il faut de muscles. Digne fils de son père, il tient de lui sa carrure, la couleur de ses cheveux et celle de ses yeux. Aux alentours d'un mètre quatre-vingt-quinze, il fait partie des hommes qui réussissent à en imposer que par leur simple présence. Des cheveux sombres descendent en mèches inégales et plutôt indisciplinées jusqu'à ses épaules. Ils sont sommairement retenus vers l'arrière à l'aide d'un lacet de cuir. Son visage, quant à lui, possède un charme unique, attirant, séduisants. Bien sculptés, ses traits sont droits et volontaires et sont accentués par ses yeux légèrement en amande, d'un gris argenté, froid, intense. Les mêmes yeux que ceux de sa mère, lui a-t-on dit. Tel un ciel d'automne, ce regard étrange vous englobe, vous transperce et ne manque point d’attirer l’attention. Hypnotisant, leur couleur définitive est difficilement perceptible. Les iris argentés du jeune homme reflètent un amalgame de teintes froides accentuées par le noir d'ébène de ses cheveux. Ses lèvres sont minces et bien dessinées. Lorsque vient le rare moment où l’ombre d’un sourire ourle ses lèvres, ces dernières laissent percevoir une rangée de dents d’un blanc nacré. Grand, bien bâtit, s'il n'en était que de lui, le jeune homme serait constamment affublé de vêtements aux teintes sombres qui mettent en valeur sa personnalité et qui accentue par le fait même la pigmentation très pâle de sa peau. Néanmoins, puisqu'il fait partie de l'ordre, il est contraint de porter l'armure officielle des chevaliers. À sa taille, une dague dont le manche est marqué par l'emblème de son royaume est accrochée. Seul héritage de son paternel – qu'il n'a jamais connu-, il y tient comme à la prunelle de ses yeux. L'épée de l'ordre y est également présente. Par ailleurs, le charisme du chevalier est présent dans chacun de ses mouvements, dans ses paroles également. Jeune homme aux allures pour le moins qu'on puisse dire excentriques, doté d'un charme tout à fait unique, Alexandre est plutôt séduisant.
Histoire
Village près de la muraille d'Argent, 22 ans plus tôt
La jeune femme courait à en perdre haleine, serpentant entre les arbustes dont les branches lui écorchaient la peau et s'agrippaient à ses vêtements, tel les doigts décharnés d'hideuses créatures sorties des ténèbres. Son coeur battait si fort au creux de sa poitrine qu'il lui semblait sur le point d'éclater. Pourtant, elle ne cesserait pas sa course effrénée. Non. Pas avant que son enfant ne soit en sureté.
Elle devait fuir et ce, malgré la tristesse. C'était la seule solution qui lui restait. Fuir et amener Alexandre en sécurité avant qu'ils ne la trouvent. Les brigands étaient aux portes du village et ne tarderaient point à mettre à feu et à sang tout ce qui se trouverait sur son passage. Les hommes avaient été alertés par les sentinelles postées aux remparts et ils prenaient les armes pour tenter de défendre leurs biens. La voix autoritaire de son grand-père lui revenait en tête. «Sauve toi Amelia» lui avait-il ordonné en posant ses larges mains sur les épaules de sa petite-fille. «Emporte l'enfant loin de cet Enfer! Il n'est pas comme les autres!»
Il avait laisser tomber ces paroles d'un ton sans réplique alors que la horde de cavaliers armés enfonçait les remparts de bois du village. Elle l'avait vu détourner son attention du visage de sa petite-fille unique pour porter son regard sur les lourds remparts de bois qui s'effondraient sur eux-mêmes, à une cinquantaine de mètres d'eux. «Sois forte» avait-il dit à l'intention d'Amelia.
La jeune femme avait tenté de retenir son grand-père alors qu'il s'élançait vers les attaquants, mais il l'a repoussa fermement après l'avoir embrassée sur le front. Accompagné de ses amis et voisins, il fonça tête baissée sur les attaquants qui envahissaient le petit village. L'homme frappa et fouetta l'air à l'aide de son arme de fortune, une hache rudimentaire. Amelia l'avait donc regardé, impuissante, s'attaquer aux cavaliers avec toute la fierté et la rage qu'un humble paysan peut avoir à protéger ce qu'il a de plus cher.
Jamais plus elle ne le reverrait. Cela, elle le savait, elle le sentait au plus profond de son être. Et des larmes de rage glissaient sur ses joues rosies alors qu'une profonde détresse s'emparait de son âme en pensant à cet instant. Sa famille, ses amis. Sa vie. Tout disparaissait d'un seul coup.
Armée d'un poignard rudimentaire, celui que son grand-père lui avait offert lorsqu'elle était encore enfant, Amelia se dirigeait vers la forêt qui bordait les limites de la petite bourgade où elle avait grandit, dans le nord du royaume de Cristal. Alors que la lune dardait sa lumière crue sur les arbres à la cime touffue et au corps décharné, l'odeur de la chair brulée parvint à son nez tandis que des cris fusaient de toutes parts et que les armes s'entrechoquaient. Des larmes de rage, d'incompréhension et de douleur lui montèrent aux yeux, sans qu'elle ne tente de les retenir. Jamais la forêt ne lui avait semblé si terrifiante alors que sa lisière sombre se découpait devant ses yeux baignés de larmes.
Elle entendait les hurlements de ceux qu'elle connaissait, qu'elle chérissait et avec qui elle avait grandit alors qu'elle cherchait appui contre le mur de pierre d'une chaumière. Au plus profond de son coeur, elle savait que ces cris ne la quitterait plus et viendraient la hanter par delà la mort. Alors qu'elle franchissait les premiers mètres de la forêt, une poigne de fer l'agrippa par les cheveux, la plaquant violemment contre un arbre. Sous le choc, elle lâcha le poupon, qui tomba au sol. Secouée par la violence de la poigne, la jeune femme leva un regard effrayé sur ce qui venait de la percuter. Un brigand. Pouilleux, sale. Il l'a tenait si fort par la nuque qu'elle avait peine à bouger la tête. Elle tenta de se dégager de l'emprise de l'homme, mais en vain. Il enfonça alors une dague dans l'abdomen d'Amelia puis la retira brusquement dans un bruit poisseux. Les yeux de la jeune femme s'écarquillèrent sous l'effet de la surprise et de l'horreur grandissante tandis qu'elle portait son attention sur la tache béante qui souillait de plus en plus la tunique blanche qu'elle portait.
Protéger Alexandre.
Par simple réflexe et sous l'effet de l'adrénaline, elle tira son poignard de la ceinture qui lui ceignait la taille et l'enfonça dans le thorax de l'homme alors qu'elle poussait un hurlement déchirant. Un cri de douleur s'échappa de la gorge de l'inconnu tandis qu'il lâchait sa prise et s'écrasait au sol, le sang s'écoulant à gros bouillons de sa blessure. En larmes, paniquée, la femme se laissa tomber aux côtés de l'enfant, le pris contre elle et s'élança à toutes jambes, dans le but de se faufiler entre les branches de la sombre forêt.
Le cœur d'Amelia battait à tout rompre, alors qu'elle ne cessait de courir, ses cheveux d'ébène ondulant derrière elle tel un voile de ténèbres. Elle avait du mal à voir où elle marchait, et les cris des villageois ainsi que les coups des épées résonnaient encore à ses oreilles, bien qu'ils s'éloignaient de plus en plus.
**Ne pas s'arrêter, ne surtout pas s'arrêter!**
La forêt qui l'avait vue grandir, cette forêt autrefois si accueillante lui paressait, en cette nuit mortelle, comme un tombeau, un trou noir, un puits sans fond où le Mal semblait vouloir l'étouffer. Malgré tout, malgré la crainte, la douleur et l'angoisse, elle s'y enfonça sans se préoccuper des branchages qui lui lacéraient la peau.
Les arbres n'en finissaient plus de s'entremêler. Néanmoins, les bruits des souffrances et des tortures s'éteignirent peu à peu, la distance la séparant de son village étant devenue trop grande. À ce moment, elle se permis enfin de reprendre son souffle. Ses larmes et le sang de l'homme embrouillaient sa vue, ses poumons lui faisaient mal et une horrible douleur lui tenaillait le ventre. Aveuglée par la douleur physique et mentale, ainsi que par l'immense chagrin qui la submergeait, Amelia poursuivit sa route, voyant finalement entre les branches une clairière qui se dessinait. Sa robe blanche était désormais maculée de sang, alors qu'elle se traînait, serrant son enfant contre elle. La jeune femme se dirigea, accompagnée de son fardeau, vers la seule chaumière qu'elle voyait. De la fumée sortait de la cheminée et des rires joyeux parvenaient à ses oreilles, se bousculant aux hurlements des villageois, qui résonnaient encore dans sa tête. Elle savait pertinemment que malgré tous ses efforts, elle ne réussirait pas à aller plus loin. Avec le peu de forces qui lui restait, la jeune femme se dirigea vers la demeure, ou elle s'écrasa contre la porte. Elle frappa le battant et hurla avec toute l'énergie qui lui restait, celle du désespoir, afin que quelqu'un vienne lui ouvrir. Les rires cessèrent peu à peu, et un homme aux joues rondes et aux yeux rieurs se dirigea vers la porte d'un air anxieux.
- Qu'est-ce qu... oh! Vite! Abygaelle! Dit-il en se penchant pour soulever la jeune femme qui s'était écroulée sur son porche. Dépêche-toi! Viens m'aider!
Une femme d'âge moyen à la chevelure grisonnante s'approcha alors de l'homme, escorté des quelques invités, et poussa un cri d'horreur lorsqu'elle aperçu la scène. L'homme apporta la demoiselle sur un lit de fortune où sa femme apporta un sceau d'eau et un linge pour éponger la plaie de la jeune fille. Il s'affaira à nettoyer la blessure, appliquant des pansements sur cette dernière en tentant de freiner l'hémorragie, sans toutefois y parvenir totalement. La vieille femme s'occupa du petit Alexandre.
Au bout d'une vingtaine de minutes, Amelia ouvrit les yeux, tremblante de partout, sa tignasse d'ébène poisseuse de sang lui obstruant la vue. Elle serra brusquement le poignet du vieil homme dans sa main fragile. Le regard effrayé, la voix faible, elle laissa tomber, dans un murmure précipité:
- Je vous en supplie, protégez mon enfant. Il... se prénomme Alexandre. Il... Il n'est pas... comme... les autres. Je vous... en... supplie...
Alors que ses yeux apeurés, aussi gris que l'acier, fixaient le vieil homme en quête d'une réponse, ils se vidèrent de leur dernier élan de vitalité. La mort. Le vide. Un froid intense s'empara de l'âme de chacun des occupants de la petite maison. Il n'y avait plus rien à faire. Elle était partie. Le vieil homme, les yeux désormais plein de larmes, détacha doucement la main d'Amelia de son poignet, puis regarda son épouse qui tenait étroitement l'enfant. Entourés des invités silencieux, Amelia s'était éteinte, laissant le bambin orphelin.
Le petit Alexandre passa les premières années de sa vie auprès d'Abygaëlle et de son mari, sans que les évènements qu'il avait vécu ne semblent troubler son enfance. Néanmoins, la vieille femme cru bon de l'en informer. Au lieu de se sentir réellement triste ou révolté, le garçon se referma plutôt sur lui-même. Dès l'âge de trois ans, quelques pouvoirs minimes, mais tout de même étranges, commencèrent à se manifester. Le plus évident était celui de la guérison. Peu développé, il ne servait qu'à guérir de petites blessures, mais les deux vieillards trouvaient néanmoins le moyen de s'en émerveillé. Les années filèrent et de nouveaux dons faisaient leur apparition, très peu maîtrisés, mais tout de même présents. À six ans, il fut envoyé au château d'Émeraude où il fut pris en charge afin de devenir, un jour, chevalier. Aujourd'hui, il fait partie de l'Ordre aux côtés de ses frères et soeurs d'armes.
Pouvoirs & Armes
Guérison: (maîtrisé à la perfection) Vagues d'apaisement: (maîtrisé à la perfection) Télépathie: (maîtrisé normalement) Sonder les territoires (maîtrisé normalement) Sonder les gens (maîtrisé normalement) Rayons incandescents (maîtrisé normalement) Rayons de glace: (mal maîtrisé) Lévitation: (mal maîtrisé)
De l'autre côté du miroir
- Question1
Va - Question2
li - Question3
dé ♥ - Comment as-tu connu le forum ? Google est mon ami!
- Quelque chose à dire ? Voilà près de six mois que j'ai arrêté le rp. Soyez indulgents s'il-vous-plait ^.^
- Désires-tu être parrainé ? Non merci, je crois que je vais m'en sortir x);
Dernière édition par Alexandre le Jeu 13 Déc - 0:33, édité 7 fois |
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Neo
Plus d'infos
| Sujet: Re: Alexandre d'Émeraude Lun 12 Nov - 23:46 | |
| Bienvenue sur le forum Ô chevalier vert ennemi!
Je suppose que ton pseudo doit être modifié en Alexandre ? Si c'est le cas je vais voir si un admin peut passer changer ton pseudo ce soir, mais bon dans le pire des cas ça sera demain donc ça va c'est pas trop d'attente je pense
Un pas bavard qui obéis aux ordre, c'est plutôt rare à Enkidiev si je ne me plante pas xD Bon courage pour la suite Ô grand chevalier ténébreux
Je serais indulgent avec toi si tu es indulgent avec mes smiley, j'ai envie de m'éclater à en mettre en ce moment alors chut! xD
Edition n°1 On sais jamais, vue l'heure je serais capable d'éditer une seconde fois. Bref finallement j'ai trouvé le courage d'appuyer sur le bouton éditer pour te noter Les superbes, les magnifiques, les splendides questions.
1/ Le langage sms c'est trop de la balle, on peut écrire tout nos rp avec! (C'est un vrai ou faux là ♪) 2/ Alaskazam! Les chevalier ont 7 pouvoirs dont la télépathie obligatoire (Ouais ouais c'est encore un vrai ou faux) 3/ Pikachu est le meilleur! Oui je sais où est la sortie... 3 bis/ Kay est le plus mignon des maitre-magiciens, le plus gentil, le plus... Le plus cool et il offre des bonbons à tout le monde, non la vrai question c'est Kay d'où il est le maitre-magicien ? |
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