Les araignées et leurs mode de vies [PV Lilvia]

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Ebroïn devait patrouiller afin de voir si les araignées géantes vivaient assez décemment, mais aussi si elles étaient prêt pour attaquer au cas où on leur demandait de leur venir en aide. Ebroïn ne savait pas combien de temps il devrait partir et laissait une lettre à son écuyère afin qu'elle effectue divers entraînements et au cas où il pourrait se téléporter pour voir si elle avait bien fait son entraînement et le constater par lui-même.Néanmoins, il ne savait pas si cela fonctionnerait ou non. Quoi qu'il en soit, il s'habilla s'en prendre son armure, mais prit soin de prendre son épée de l'ordre ainsi que ses deux dagues longues. Pour son épée il l'ajustait sur son côté gauche avec son fourreau et prit un autre fourreau où il met ses deux dagues longues sur le côté droit. Une fois cela ajuster, il se coiffait un peu pour ne pas partir avec des cheveux en bataille, car bien qu'il aimait assez ses cheveux parfois il ne se coiffait pas et cela faisait désordre.

- Bien, cela suffira.

Il s'en allait alors vers les les cuisines en demandant aux cuisiniers encore debout quelques rations pour son voyage. Les cuisiniers ne se posaient pas de question, car il connaissait un peu la réaction qu'il pourrait avoir. Ils lui préparèrent alors plusieurs rations ainsi qu'un peu d'eau et l'empaquetait dans un baluchon qu'il lui donnait. Ebroïn pouvait alors sortir afin de se rendre aux écuries où se trouvait son étalon se nommant tempête. Il le scellait en lui mettant l'attirail de sa monture sur le dos de tempête et le sorti de son box par la suite. Il marchait tranquillement en se rendant dans la cour et monta à cheval. Il fit alors quelques ronde dans la cour pour se réhabituer à monter à cheval et une fois satisfait, Ebroïn prit soin de descendre et de mettre son baluchon à l'arrière de la selle avant de remonter à cheval.

I

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Lorsque je me leva mon ecuyere dormais encore, je la regarda donc dormir, elle avait eu plusieur maitre avant moi et donc diver facon d'etre entrainer de se faite je lui laisser beaucoup de liberter sans pour autant negliger sa formation. Aujourd'hui comme pendant les jours avenir elle allait devoir s'entrainer seul, la veille on m'avait donner orde de me rendre sur l'ile des araigner, beurk. Bien que j'en eu horreur il fallait s'y rendre et j'averti desuite Maya. J'allas dans les bain me purifier puis me faire masser. De retour wans ma chambre je me prepara en silence afin de ne pas la reveiller. Je revetit mon armur, accrochait mon epee a ma ceinture, a l'opposer j'accrochat une besasse dans laquelle je mit une gourde,j'attacha mes cheveux comme a mon habitude, les faisant passer sur mon epaule et pendre sur ma poitrine. Enfin prete je deposa un baiser sur le front de mon ecuyere, quittant la chambre en silence je me dirigea vers les cuisines, sur le chemin je croisa Ebrion, une rapide inspection de ses pensee me permis de savoir que je partais pour l'ile avec lui. Je pris les vivres dont j'avait besoin puis j'allas au ecurie ou je trouvas Suri pret a partir. Je l'enfourcha, remercia rapidement le palfrenier pour leur travail puis je rejoin au galot mon frere d'arme. Je repris le pas une fois a coter de lui.

-Tu aurais pu m'attendre tous de meme.

Mon ton etait joyeux, et pour cause j'aimais bien quitter l'enceinte du chateau. Je regretta que ma confidente ne soit pas la, non que la compagnie d'Ebroin me deplaise mais je ne le connaissais que tres peu. Remarque cette mission nous permettrais d'apprendre a nous connaitre. Je regarda autour de moi, toute en me tenant droite sir ma selle. Puis je regarda Ebroin, beau brun, l'armure rouge lui va bien. Apres une evaluation physique de mon partenaire je fut ravi de savoir que j'etais physiquement en bonne compagnie maintenant rester a savoir si psycologiquement je l'etais aussi.

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Ebroïn arrivait non loin de la porte qu'une voix lui reprochait de ne pas l'avoir attendu. Il se tournait donc en arrêtant son cheval afin de voir qui est la personne qui devait se rendre avec lui sur l'île des araignées. cela ne pouvait être qu'un chevalier d'après lui et en voyant Lilvia à ses côtés, il se demandait si cela était nécessaire. Sont-ils si dangereux que cela pour faire appel à deux chevaliers au lieu d'un seul ? Il fallait y croire. Quoi qu'il en soit, il reprenait aussitôt la route en compagnie d'une de ses soeurs d'armes. La voix de Lilvia semblait joyeux, Ebroïn ne comprenait tout simplement pas pourquoi, mais peut-être que durant cette patrouille, il pourrait s'en rendre compte par lui-même.

Il attendait alors que la porte soit ouverte et une fois que cela était fait, il partie aux côté de Lilvia. Il ne s'était encore jamais rendu sur l'île des araignées, si bien qu'il ne pouvait pas utiliser son don de téléportation. En plus de cela, il ne savait pas si cela fonctionnerait ou non. Quoi qu'il en soit, il devait donc s'y rendre avec son cheval ainsi que Lilvia, ce qui n'était pas si mal après tout. Cela faisait un certain qu'il n'avait pas utiliser son cheval en se reposant de trop sur sa téléportation. Le temps passait et ils ne pourront pas atteindre la forêt en fin de journée. Ebroïn regardait alors Lilvia à côté de lui avant de lui parler.

- Nous devrions faire notre campement pour la nuit.

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Hum, il est beau mais pas tres bavard le Ebroin, mais bon temps pis au moins je pouvais profiter tranquillement du paysage en savourant cette instant, certe en tant que chevalier je peux sortir quand je veux sans avoir besoin de prevenir qui que se soit, que j'aime cette libertée. J'admirais donc le paysage en me demandant a quoi pouvait ressembler ile des araignais, je maudissais mes superieur de m'avoir envoyer la bas en mission, deja que j'est une peur bleu des toute petites alors la ça va être pire, il va falloire que je me maitrise car celles que nous allons voir sont beaucoup plus gros que mon destrier et moi, un frisson d'horreur me parcouru l'échine, heureusement qu'Ebroin est avec moi, il pourra sans doute m'aider si je part dans une crise.

Le temps filait, insensible au fait que nous n'étions pas arriver a bon port, tant pis c'est ainsi. Perdu dans mes penser je surssota lorsqu'il s adressa à moi, faut dire aussi qu'il ne m'avait pas adresser la parole de toute la journée, J'aquissa d'un signe de la téte, il est bizarre de se dire que quelqu'un ne nous a dit que quelques mots quand tous les gens du chateau passe leur temps a me raconter leur malheures, et moi eh bien je les conseil au mieux. Nous nous arretames donc, puis nous mettions en place notre campement, n'étant pas doué avec l'element de feu je laissa Ebroin, allumer un feu magique, pendant se temps je défi ma cuirasse sans me soucier de mon frere d'arme, cela fait je détacha mon épée et son fourreau de ma ceinture et la posa à coter de moi, seul le poignard pendait encore sur mes hanches. J'allas chercher du pain, du fromage et de la viande dans la saccoche qui pendait sur la selle de Suri et allat les deposer face au feu magique. Tournant les talon je parti a la recherche d'un point d'eau dans lequel je pourrais me purifier, je fus ravis d'en trouver un. Aussi je me deveti et allat directement dans l'eau, je m'y prélaça un moment sans plus faire attention a rien, n'importe qui serais venu me regarder que je ne l'aurais pas remarquer, je profita de se petit repis pour stoper la douleur qui c'était emparer de mes jambes, bah oui cela faisait bien 3 ans que je n'avais pas fait d'aussi long voyae sur le dos de Suri. Une fois que j'eu trouver en moi la force de sortir de l'eau et de me sécher, je me rhabilla et allat retrouver Ebroin, arriver au campement, je m'assis face au feu magique et mangea mon repa en silence. Une fois cette activiter vital accomplie, j'entrepris de déméler ma longue chevelure, c'est donc armer d'une brosse que je commença a brosser avec douceur mes cheveux.

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En voyant que Lilvia était d'accord avec lui en lui faisant signe d'un hochement de la tête, il arrêtait son cheval en lui murmurant à l'oreille de s'arrêter. Son cheval, connaissant bien son maître, lui obéit et s'arrêta en le laissant faire ce qu'il devait faire. Ebroïn n'avait rien pris d'excessif en soit, seulement quelques nourritures et boisson pour tenir pour l'aller avec en plus quelques ustensiles utiles pour les voyages. Il déposait donc son sac par terre et commença à rassembler des brindilles et des pierres pour faire un feu de campement. Il ne regardait pas ce que faisait Lilvia concentrer à faire un cercle avec les pierres trouvées en plaçant de suite après des morceaux de bois à l'intérieur du cercle. Après avoir fait cela, il sortait de son paquetage du silex pour allumer un feu. Au bout de quelques échecs, il réussit à faire une flamme qu'il exploita en soufflant légèrement dessus pour que le feu prenne sur le reste des morceaux de bois.

Après cela, il déposa son épée à côté de lui avec son fourreau et regardait ce que faisait Lilvia. IL n'aimait pas trop parler, mais elle n'avait pas cherché à le faire parler plus qu'il ne le souhaitait et à vrai dire, il aimait bien cela. Ebroïn ne cherchait pas à résoudre les problèmes des gens, seulement à les protéger quand cela s'avère être une nécessité. Peut-être devrait-il lui parler un peu plus afin de mieux la connaître, mais cela ne lui ressemblait pas. Pourtant, il se sentait quelque peu attiré vers elle pour une raison qu'il ignorait lui-même. Il attendait alors qu'elle revient en passant le temps en sortant un peu de nourriture de son sac pour ne pas trop entamer la nourriture emportée.

Lorsqu'elle revient en entamer son repas, Ebroïn en faisait de même. Il ne comptait pas lui poser de questions durant le repas. Peut-être ne parlait-il pas beaucoup, mais il n'en était pas moins courtois par ses gestes. Ce n'est qu'une fois fini et qu'il voyait Lilvia dem^ler ses cheveux qu'il eu une idée. Il se leva après avoir remis du bois pour ne pas qu'il s'éteigne et s'approcha de derrière Lilvia en lui prenant la brosse. Il posa sa main en dessous de sa chevelure et la brossa pour lui demêler les cheveux.

- Que fais tu quotidiennement au château Lilvia ?

Bon ce n'est peut-être pas une façon de démarrer une conversation, mais il s'agit d'un sujet comme un autre après tout.

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Je regarda Ebroin se lever, il est pas très bavard et j'avais respecter ce trais de caractère, chacun étant comme il est se n'est pas a moi de le changer. Je le vis s'approcher puis il s'assis derrier moi, je ne compris pas pourquoi jusqu'a se que je le senti me prendre la brosse des mains puis ma longue chevelure par dessous et il commença a me brosser les cheveux, si ce geste m'étonna je ne le reppoussa pas pour autant, bien au contraire je le laissa faire, cela faisait bien longtemps que quelqu'un n'avait pas pris soin de moi. Lorsque j'étais enfant j'adorée quand ma mère adoptive me brosser les cheveux, c'était quelques moment privilègier que je n'avais sans doute pas assez savourer car tous cela s'était arréter lorsqu'elle était devenu élève d'Irianeth. Bien sur Ebroin ne lui brosser pas les cheveux de la meme maniere que ma mere et pourtant je senti un frisson me parcourir la colonne vertebral, je ferma les yeux et savoura se moment car rien ne me dit que cela se reproduira. J'imprima dans un coin de ma tête chacun de ses mouvements, puis sans m'en rendre compte je lacha un soupire d'aise. J'écoutas sa question et un sourire amuser se dessina sur mes levres, en effet il n'a pas l'habitude de parler, mais il fait un effort et je ne peus que l'encourager sur cette voie.

-Eh bien je m'occupe de mon écuyère et lorsque je lui laisse du temps libre je le passe soit a la bibliotèque soit a aider se qui me demande de les aider que se soit en service materiel, psychologique ou en conseil, je suis a l'écoute des autres. Et je dois avouer que je ne prend pas beaucoup de temps pour moi, je m'oublie un peu je crois. Et toi que fait tu de tes journées.

Je croisa mes jambes et posa mes mains sur mes chevilles, un frisson me parcourais le corps chaque fois que nos peaux entraient en contacte je ne sais pas vraiment pourquoi mais cela n'a rien de desagreable bien au contraire.

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Ebroïn savait un peu brosser les cheveux, mais surtout, il savait comment les démêler pour l'avoir fait sur lui même lorsque ses cheveux se trouvaient être en pagaille. Néanmoins, n'ayant jamais eu de longs cheveux comme ceux de Lilvia, il ne fallait pas qu'il lui tire trop fort sur sa chevelure. Ebroïn faisait donc de son mieux pour être aussi délicat que possible. Parfois, il touchait la peau de Lilvia sans le vouloir et pourtant, à chaque contact qu'il avait avec sa peau, Ebroïn se sentait comme frissonnant. Frissonnant, radoucit ainsi qu'apaisé et bien plus encore. Impossible, voilà un mot qui résume assez bien ce qu'il ressent lorsqu'il la touche. Ebroïn arrivait parfois à savoir ce qu'il ressentait en faisant simplement une description de la réaction de son corps. Il écoutait en même temps qu'il brossait les cehveux de Lilvia, sa réponse à la question qu'il lui a posé il y a peu.

Elle lui reposa sa question et Ebroïn se demandait comment y répondre. Il réfléchissait en se concentrant un minimum afin de trouver une réponse convenable. Cependant, cela n'était pas chose aisée. Pourtant, il se devait de trouver une réponse correcte qui puisse lui convenir, à lui, mais surtout à Lilvia. Ebroïn en trouva alors une et espérait que cela lui conviendrait.

- Je m'occupe de mon écuyère et je m'entraîne avec mes armes.

S'était simple et convenable. Il n'y avait pas trop de mots, mais cela serait peut-être suffisant.

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Hum vraiment pas bavard le compagnon de voyage, mais en y reflechissant cela ne me dérangais pas, il m'avait donc donné une reponse courte mais claire et ça j'appréciais car certaine personne trouver le moyende donner des reponses longues et incompréhensible a la plus simple des questions.
Toujours assise en tailleur, j'écoutais les bruits alentours, enfin j'essaya de les écoutait car chaque fois que nos peau entrèrent en contacte je frissonnais , c'était une sensation plaisante mais agassantecra j'ignorais d'ou elle provenait, je ferma les yeux pour mieux apprécier se qu'il me faisait, seulement lorsque je les ferma le visage d'Eroin apparu aussi net que si il avait été en face de moi, pourtant je ne l'avais pas réelement regarder, c'est plutot....étrange. Je le laissa finir de brosser ma longue chevelure, puis lorsqu'il eu fini je la pris et la tressa sur mon épaule cela fait je me tourna vers lui.

-Je te remercie, cela faisait longtemps que l'on avait pas pris soin de moi d'un quelconque manière. Ça m'a fait plaisir.

Je lui offrie un sourire puis je me pencha vers lui et déposa doucement un baiser sur sa joue, il m'avait rendu heureuse sans pour autant déplacer des montagnes, prendre soin des personnes qui nous son cher ne veux pas dire que l'on dois passer son temps a leur éviter d'être blésser ou de mourire, non cela s'appele protéger, prendre soin de quelqu'un c'est quand l'autre vous dit qu'il est heureux, c'est lorsqu'il sourie ou lorsque vous faite pour lui quelque chose qui lui fait plaisir, n'importe quoi, une balade, une discussion ou encore dans le.cas présent un simple brossage de cheveux, c'est simple mais on ignore se qui entoure les personnes donc le plus simple des gestes peu se transformer et devenir le plus beau des cadeaux.
J'eu envi de le serrer contre moi mais ne sachant pas vraiment comment il allait réagir au baiser que je venais de déposer sur sa joue je prefera retourner a ma place.

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Ebroïn faire plaisir à quelqu'un ? cela l'étonnait tout en étant surprenant de sa part. Cependant, bien que surprit, il ne l'était pas pour autant. Il aime être seul, mais depuis l'arrivée de son écuyère il ne l'était plus vraiment et bizarrement cela ne le dérangeais pas vraiment, au contraire. Ebroïn n'avait en ce moment que des questions sur lui-même dans son esprit et compte les résoudre par lui-même d'une manière ou d'une autre. Cela était pour lui des défis dont il est assez fière de relever afin dans venir à bout. Ce qu'il se passait par la suite le prenait au dépourvu. Lilvia vient déposer un baiser sur l'une de ses joues le laissant ahuri tout en étant impossible de réfléchir.

Au bout d'un moment, Ebroïn essayait de recoller les morceaux dans sa tête afin de savoir ce qu'il venait de se passer. En se rappelant ce qu'il venait de se passer, Ebroïn rougissait à n'en plus finir. Il ne savait pas non plus ce qu'il pouvait dire ou faire, pourtant ce simple contact de sa joue avec les lèvres de Lilvia lui a révélé une chose essentielle. Il commençait à comprendre pourquoi il frissonne à chaque fois que leurs peaux se touchent.

Ebroïn serra contre lui Lilvia en déposant un baiser sur sa joue.

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Après être retourné à ma place j’observai Ebroin, un sourire timide se dessina sur mes lèvres fasse à son air ahurie, apparemment il n'avait pas l'habitude qu'une jeune femme lui donne une marque d'affection. Je le laissa donc prendre tous le temps qui lui fallait pour se remettre. Je natta mes cheveux cela fait je me tourna vers Ebroin qui était devenu tous rouge, je ne savais plus trop quoi faire je décida donc d'en rester la car soit il n'avait vraiment pas l'habitude et cela le gênait, soit c'était parce que c'était moi qui lui avait donner cette marque d'affection. Je baissa la tête et regarda le tissu sur mes jambes, le prenant dans mes mains je le serra jouant avec comme ferais un enfant mal à l'aise. La je ne savait plus trop ce que je pouvais faire ou ne pas faire, sans le gêner au passage.

Ce fut à mon tour d'être surprise, mon visage tous blanc pris une teinte rouge tomate lorsque je me retrouvas contre son torse et qu'a son tour il vint déposer une baiser sur ma joue, je mis un peu de temps à réaliser que je me trouver dans les bras d'un homme. Il ne dit rien, moi non plus et de toute façon qu'aurais-je pus dire, sans que je m'en rende réellement compte mes bras entourèrent Ebroin et je ferma les yeux, la tête poser sur son épaule. Je ne bougea pas je resta ainsi, respirant inconsciemment son parfum que je trouva d’ailleurs un peu...sauvage.

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Ebroïn avait vu juste en l'a serrant contre lui, un courant d'électricité parcouru l'ensemble de son corps et sans que cela lui fasse mal. Ce courant, lui a seulement donné l'impression d'un frisson assez agréable en faite. Si cela se produit à chaque fois qu'il se touche, cela risque d'être intéressant à tout point de vue. Sa rougeur ne disparu pas au fur et à mesure que le temps passait. Au contraire, elle ne faisait que s'accentuer davantage. Quoi qu'il en soit, il faisait avec et ne pouvait nier que Lilvia l'intéressait. Seulement, il ne savait pas du tout comment s'y prendre avec les gens et bien qu'il faisait des efforts en ayant une écuyère, il ne restait pas moins quelqu'un aimant la solitude.

Ebroïn avait remarqué une dernière chose en pensant au fait qu'il était seul souvent. L'arrivée de son ecuyère et de Lilvia bouchait peu à peu son envie de solitude. Peut-être irait-il encore seul parfois à certains endroits, car c'est ce qu'il aimait, mais il savait qu'il ne serait plus vraiment seul à son retour.

Le chevalier tentait alors une nouvelle approche peut-être un peu plus brusque ou inattendu, mais il voulait en avoir le coeur net. Il releva la tête de Lilvia avec une main sur son menton et l'embrassait sur ses lèvres.

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Je respirais profondément le parfum d'Ebroïn, étrangement je me sentais bien dans ses bras, en faite il s'agissait la d'une sensation plutôt étrange, mélange de bien être et de sécurité, comme si rien ne pouvait m'arriver. Nous restâmes ainsi quelques minutes, puis d'une main il souleva mon visage, et avant que je ne puisse dire quoique se soit il posa ses lèvres sur les miennes, surprise je ne ferma pas les yeux, puis petit à petit je laissa mon instinct faire, je ne compris pas vraiment se qui était entrain de m'arriver, mais j'appréciais cet instant; Je senti le sang battre dans mes oreilles, mes joues s’enflammèrent, les battement de mon coeur s’accélérèrent tellement que je cru qu'il allait éclater dans ma poitrine, se fut comme si le temps était suspendu pour respecter cet instant que je trouva plus que magique, je n'entendis plus les bruits de la forêt, j'étais transportais ailleurs. Lorsque nos lèvres se quittèrent, j'étais éssouflée mais je ne pus contenir un soupire d'aise, je le regarda me perdant dans ses yeux, puis je perdis tous contacte avec la réalité, s'il s'agissait la d'un rêve, je priais pour que jamais il ne s'arrête. Laissant de nouveau mon instinct prendre le dessus, je colla mon corps à celui du jeune homme, laissant mes formes épousé son corps comme si le mien était fait pour ça, comme si il ne devait pas en être autrement, puis doucement je posa mes lèvres sur les siennes en un tendre baiser, qui très vite s'enflamma, sans m'en rendre compte je le fis basculer, le plaquant au sol, je caressa doucement ses cheveux. Je ne compris pas vraiment se qui me prenais, mais lorsque à regret je mis fin à se baiser, la réalité me revint dans la figure comme une gifle. Voyant qu'il était allongé et moi sur lui, je me releva à une rapidité incroyable, le libérant.

-Je...désolé...

Je me leva et allas m’asseoir à peine plus loin, je replias mes jambes contre ma poitrine et les encercla avec mes bras en posant ma tête sur mes genoux, pourquoi avais-je dit désoler alors que je ne l'étais pas du tous, je l'ignore, je posa doucement ma main tremblante sur mes lèvres, que s'était-il passait jamais avant je n'aurais fait ça avec un autre homme alors pourquoi...l'amour, comment le dire j'ignoras totalement se que s'était.

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Que venait-il de faire au juste ? Et pourquoi l'avait-il fait ? Dans son esprit tout était confus et les gestes qu'il pensait ne jamais faire jusqu'à maintenant comme déposer un baiser sur les lèvres d'une femme font maintenant partie de sa vie. En effet, le baiser qu'il vient de donner à Lilvia lui plaisait énormément et son instinct le poussait à vouloir continuer, mais son respect envers l'ordre est indéniable. Il se récitait alors le code dans son esprit pour essayer de trouver un semblant de lucidité, mais en vain. Ce n'est que lorsque Lilvia arrêtait d'elle même le baiser qu'il a provoqué qu'il se sentait comme... abandonné. Pourquoi se sentait-il autant dépendant d'elle ? Pourquoi en voulait-il toujours plus ? Rien, rien pour l'éclairer et tant de questions se bouscule dans son esprit. L'avait-elle bousculer et plaqué au sol juste pour jouer avec lui ? Pourtant la réaction qu'elle a eu, le laissait encre plus perplexe qu'il ne l'était déjà.

-Je...désolé...

Ebroïn se redressait peu de temps après que Lilvia se soit éloigné de lui. Il voulu tendre sa main et dire quelque chose, mais il n'en fit rien. Les mots n'arrivaient pas à sortir de sa bouche, mais parfois un geste, une attention peuvent tout aussi bien réconforter une personne ou alors la blesser. Tout dépend de ce que l'on fait et du résultat que l'on souhaite obtenir. Ebroïn s'approchait de derrière Lilvia et s'agenouilla en la serrant contre elle, son torse contre son dos. Il ne disait rien et ne sentait pas la peine de dire quoi que ce soit, pour le moment.

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Mon cerveau refléchissait trop vite pour que je puisse comprendre mes propre reflexion, se qui est assez frustrant, je sais plus vraiment se que je dois faire, dois-je laisser faire mes envies et aller me blottir dans ses bras pour pouvoir continuer à gouter ses levres ou dois-je l'éviter pendant toute la durée de la mission. Cette seconde option me serra le coeur, non l'éviter n'est pas une solution, je veux être dans ses bras, pire encore j'ai l'impression que c'est un besoin, mais comment savoir si le baiser qu'il m'a donné est sincère, c'est la première fois qu'homme m'embrasse et la, vu les sentiments qu'Ebroïn a declanché en moi, je pris pour qu'il soit sincère. Je le regarda, il s'était lever et semblé hésiter, mais à faire ou dire quoi, puis il se leva et vint s'assoir deriere moi, me prenant dans ses bras il me serra doucement contre son torse. Je soupira doucement, j'étais bien ainsi, un frisson parcouru mon corps, je ferma les yeux pour savourer se contact, et je tenta de reflechir, au bout de quelques minutes je parvint à formuler une pensée coohérente, il fallait que je soit certaine d'une chose: si Ebroïn joue avec moi ou si il est sincère. Si il est sincère tant mieux si il ne l'ai pas tant pis au pire je passerais pour une jeune femme naif. Toujours dans ses bras je me tourna vers lui, mon visage à quelque centimetre du sien, en apparence je scruter ses yeux mes ceux qui me connaissent savent que je le sonde, et ce que je trouve dans son esprit et plus qu'intéréssant, dependant de moi et il en veux plus, ses pensée la me donnaire une bouffer de joie, il est sincère. Je sortie de son esprit, je n'aime pas m'attarder dans l'esprit de quelqu'un lorsque j'ai recupéré ce que je voulais, d'autant plus que dans celui du jeune chevalier j'ai l'impression de disparaitre. Je ferma les yeux pour reflechir un instant, et lorsque je les rouvrie, ils s'illuminèrent de bonheur, caressa doucement la joue d'Ebroïn, si je pouvais sans difficulter penetrer l'esprit des gens, j'avais tendance à fermer completement le mien que je n'ouvrais qu'a ma confidente, mais la je lui ouvrie le mien au cas ou l'envie de me sonder le tentait. Je laissa s'écoulais quelques instant puis je lui donna un baiser ou se melangait passion et amour, deux sentiments tous nouveau pour moi. Je passa ma main dans ses cheveux pendant que l'autre se posait doucement sur sa joue, puis je mis fin au baiser, collant mon front au sien je le regarder droit dans les yeux, un tendre sourire aux levres.

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» Lien de Lilvia
» Un rp avec la douce Lilvia
» Lilvia chevalier d'Irianeth [terminer]

Les araignées et leurs mode de vies [PV Lilvia]

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