L’eau était une source de réconfort et de relaxation pour l’Immortel, car, dans les cieux, il n’y avait pas d’océans comme cela. Tout ce qu’on y retrouvait, c’était des bassines grisâtres, dans un monde déjà gris, sans mouvement et figé pour l’éternité. La mer était l’extrême opposé des cieux, étant en perpétuel mouvement et changeant de couleur au fil du temps. Certes… sur cette plage, c’était moins beau que les lacs et rivières, l’eau était plus terne et les poissons, plus uniformes, mais c’était déjà beaucoup mieux que le monde céleste. Bref, c’était si différent de ce à quoi il était habitué que la fascination le calmait. Regarder toutes ces vagues et ces poissons nageant le plongeait dans un état de méditation avancé, qui lui était souvent nécessaire puisqu’il aimait réfléchir un peu trop.

À sa surprise, une plume noire passa devant ses yeux, et il sentit une présence magique derrière lui, près d’un arbre. L’Immortel se retourna vers l’arbre, où il avait détecté la magie; une jeune fille (qui n’avait que deux années de moins que lui, mais étant donné sa nature, il se voyait bien plus vieux que lui,) et écuyère d’Irianeth. À cette heure? N’était-ce pas la nuit? Il brillait comme l’étoile qu’il l’était, avec toute sa blancheur, et pouvait voir sa mère la nuit dans le ciel. Les humains dormaient généralement à cette heure, non? Peut-être qu’il y avait des créatures qui toléraient moins bien le soleil… et ça, il pouvait le comprendre! Il avait toujours préféré la noirceur, puisqu’il pouvait faire sa propre source de lumière.

Étendant ses sens, bien que d’une façon minime, l’Immortel réalisa que la jeune fille était en réalité blessée, physiquement. Elle était épuisée et ses muscles lui faisaient souffrir. Dans un élan de compassion, Seren se téléporta derrière la jeune fille, et, sans s’annoncer, car il n’en avait pas jugé l’utilité, il posa une main sur l’épaule de l’écuyère et émit une lumière argentée, qui détendrait les muscles de la jeune femme.

― « Vous semblez épuisée, laissez-moi vous aider! » se justifia Seren, tandis qu’il émettait sa lumière argentée, sans réaliser qu’il aurait très bien pu terroriser la jeune fille pour le restant de ses jours, et qu’il pourrait se prendre la baffe de sa vie.

[dsl pour le retard, j'étais pris avec ma mère et les examens >.<]

Il etait encore tôt sur le continent d'Irianeth, le soleil n'était pas encore lever bien que cela n'allait pas tarder. Et si le soleil n'était pas encore levé, moi je le suis. Comme a mon habitude je regarda Maya dormir. Je fit cela quelques instants puis prenant mes affaires, je sortis de la chambre en silence pour ne pas la reveiller et je me dirigea vers les bains. Je me dévètie, mis ma robe de chambre dans une panière qui n'attendais que l'arriver de la lavandière, puis je md glissa avec bonheur dans l'eau chaude. Je me détendi totalement, profitant du calme et de la solitude. Je pensa au dernier évenements de ces derniers jours. Au bou de quelques instants je sortie de l'eau et allat m'allonger sur un banc de massage, bien que les masseurs ne soit pas encore la. Fermant les yeux je me laissa sécher, une fois cela fait je me véti puis me coiffas. Je porter donc ma robe bustière habituelle, mon long gilet rouge transparent, mes cheveux sont rassemblés en une queue de cheval passant par dessus mon épaule droite, en faite se n'est pas un elastique qui les retients, non il s'agit d'un petit bijou en or que m'a offère ma mere adoptive à mes 18 ans, et je le place toujours en dessous de mon épaule du coup j'ai des meches rebelles qui s'en échappe. Je pris une fleur blanche et la plaça délicatement dans mes cheveux. Une fois prete je me rendi aux écuries afin de m'occuper de mon cheval, les garde croiser en chemin ne firent aucune reflexion car ils savent que sous mon apparence de femme douce se cache aussi une jeune femme sans pitier avec ses adversaires. Je sella mon destrié puis le dirigea vers le pont levi, qu'ils venaient tous juste de lever. En passant, j'offris un sourire aux gardes, une fois hors du chateau je grimpa sur mon cheval, étant en robe je plaça mes jambes du meme coté puis je fit avancer ma monture. Avais-je eu un prèssentiment ou est-ce une simple coincidance je l'ignore, le faite est que je me retourna sur ma selle et je pus voir sortir un corbeau d'une des fenetres du chateau. Je sus desuite que se n'etait pas un veritable oiseau aussi je décidas de le suivre, mais de loin, on ne sais jamais. Je fit claquer ma langue, se qui eu pour effet de faire partir mon cheval au galos. Nous galopèrent jusqu'a la plage se qui m'inquieta, est-ce un espion des chevaliers vert? Le mieux étais de suivre pour savoir car en tant que chevalier d'Irianeth je me devrais de l'arreter si tel est le cas. Lorsque l'oiseau s'arreta, je fis de même avec ma monture, et mis pied a terre de ma ou j'etais mes rayons de glace pouvais toucher sans peine l'individu. Quelques instants passèrent puis l'oiseau se chancea en humaine, je reconnu sans peine l'écuyere d'Ebroin, je décida donc de lui faire connaitre ma présence. Je m'appréter a m'approcher d'elle lorsque je resenti une puissance magique que je ne reconnaissais pas puis un homme apparus derriere Morguose. Ne le connaissans pas, je pris la dague que je laissais toujours accrochef à ma selle. Refléchissant au possibiliter qui s'offret a moi je decida de m'approcher d'eux tranquillement

-Je vous demanderais monsieur de bien vouloir vous identifier et de vous écarter de cette jeune fille.

[i]Pour être sur qu'il s'écarte j'alla moi meme me placer entre eux. Posant une main sur mes hanches je l'observa attendant une quelconque reaction de leurs part.[i]

Je continuais à regarder le jeune homme toute en surveillant les pensée de Morguose. Le jeune inconnu n'avait pas l'air de comprendre pourquoi je tenais ma dague. Etant de la premiere génération qui est toute jeune, je n'ai encore jamais eu de véritable adversaire et ne portant ni ma cuirasse ni mon épée, je préférer qu'il ne soit pas hostile car je sent une grande puissance magique en lui et je suis sur que si on en vient au combat je perdrais. Je l'écouta parler sans broncher. Il me rassura je dois l'admettre. Il fit une revérence puis en pointant ma dague il me demanda pourquoi je l'avais sorti. Lui souriant je rangea mon arme, mon visage repris sa douceur habituelle. Je m'inclina à mon tour devant lui.

-Je suis le chevalier Lilvia d'irianeth. Je suis désoler de vous avoir montrer tant d'hostiliter, mais vous comprendrais qu'avec la menace permanent des chevaliers d'Emeraude je suis obliger d'être sur la défencive devant un étranger.

Si on m'avait dit un jour que je rencontrerais un immortel je n'aurais pas cru la personne et pourtant j'en ai un en face. Je me tourna vers la jeune écuyere d'Ebroin.

-Dit moi jeune fille ne sait tu pas qu'il est interdit de sortir du chateau à cette heure-ci sans compter que tu est parti seul heureusement que cet immortel n'est pas hostile au chevalier d'irianeth.

Je lui avait parler sur un ton doux car dans un sens je comprenais parfaitement qu'elle souhaite un peu de liberter.

La chevalière s'excusa de son comportement, ce qu'il comprit parfaitement, même s'il trouvait son raisonnement un peu ridicule. Cela dit, il savait qu'étant Immortel, il était plus intelligent et savait plus de choses que les mortels, et qu'il fallait les excuser de leur ce qu'ils ne savaient pas. L'Ordre d'Irianeth devait certainement croire que leur Ordre adversaire était rempli de monstres de trois mètres de haut qui arrachaient les arbres et s'en servaient pour balayer les humains, si cela se trouvait!

― « Vos excuses sont acceptées. Je dois par contre me montrer étonné; l'Ordre d'Émeraude est au même stade que leur vôtre. Il leur serait illogique de nous attaquer à ce moment-ci. Quoique vous mortels avez une tendance à ignorer la raison, » répondit-il, sans se demander s'il se montrait insultant envers les deux jeunes femmes en leur disant qu'elles étaient de nature stupide, en quelque sorte. Pour lui, c'était tellement évident qu'il en serait étonné si elles s'en offusqueraient. Après tout, ne fallait-il pas admettre ses défauts? Quoiqu'il était vrai que certains avaient des définitions contraire par rapport à leurs traits de caractère; Seren croyait que l'obéissance aveugle était signe de faiblesse, les autres Immortels croyaient que sa rébellion était signe de défectuosité.

La chevalière réprimanda ce qu'il crut être son écuyère, puisqu'elle lui parlait d'un ton doux, un peu affectueux. Un peu comme son maître avec lui-même. La jeune fille regardait le sol et semblait timide, gênée d'être en leur compagnie. Comme elle venait de se faire reprocher d'être sortie la nuit, Seren ne se posa pas plus de questions qu'il le fallut, mais lorsqu'elle marmonna qu'elle se sentait « oppressée », l'attention de l'Immortel se ramena complètement à elle. Elle se sentait prisonnière? Impropre à sa place? Limitée? Un peu comme lui, dans le temps qu'il vivait dans le monde céleste en compagnie des autres Immortels, qui apprenaient à obéir sans se poser de question?

Avant qu'il puisse lire les pensées de la jeune fille, elle lui demanda ce qu'était la mort. « Hum? » Elle ne le savait pas? Il croyait que c'était une chose évidente. Ah, mais bien sûr, ils étaient des mortels, ils n'avaient jamais vu des morts et ceux-ci ne pouvaient pas leur dire comment c'était.

― « L'âme se détache du corps et se retrouve aux plaines de lumière, où ils y vivent paisiblement, sans soucis, sans ennuis, heureux pour toujours. »

[Excusez mon post, c'est moche je sais .__.]